Critique of What Would the Virtuous Person Eat? The Case for Virtuous Omnivorism
1. Insects and oysters have a nervous system. They are sentient beings and they feel pain.
2. It is not necessary for human health to consume sentient beings â not mammals, birds, reptiles, or invertebrates.
3. It is plants (and microbes) that do not have a nervous system and hence do not feel.
4. What is wrong is to make sentient beings suffer or die other than out of conflict of vital (life-or-death) interest.
5. Morality concerns, among other things, not harming other sentient beings.
The rest of the proposal of Christopher Bobier is unfortunately mere casuistry.
To help the victims of plant agriculture for human consumption, perhaps strive instead to develop an agriculture that is more ecological and more merciful to the sentient beings who are entangled in mass consumption by the human population.
Instead of fallacies like the call to consume some sentient victims so as to give further sentient victims the opportunity to become victims, it might be more virtuous to consider reducing the rate of growth in the number of human consumers.
De la casuistique dâun «éthicien» concernant la « vertu»
1. Les insectes et les huitres ont un systĂšme nerveux. Ils sont des ĂȘtres sentients et ils ressentent la douleur.
2. Il n’est pas nĂ©cesaire Ă la santĂ© humaine de consommer les ĂȘtres sentients — ni mammifĂšre, ni oiseau, ni rĂ©ptile, ni invertĂ©brĂ©.
3. C’est les plantes (et les microbes) qui n’ont pas de systĂšme nerveux et donc ne ressentent pas.
4. Ce qui est mal, c’est de faire souffrir ou mourrir les ĂȘtres sentients sans nĂ©cessitĂ© vitale (conflit d’intĂ©rĂȘt de vie ou de mort).
5. La moralitĂ© concerne, entre autres, ne pas faire mal aux autres ĂȘtres sentients.
Le reste du propos de ce « scientifique » n’est que du casuistique.
Pour aider aux victimes de l’agriculture des plantes aux fins de la consommation humaine, lutter peut-ĂȘtre plutĂŽt pour dĂ©velopper une agriculture plus Ă©cologique et plus misĂ©ricordieuse envers les ĂȘtres sentients qui sont empĂ©trĂ©s dans la consommation de masse par la population humaine.
Au lieu de sophismes comme l’appel Ă consommer des de victimes sentientes pour donner l’occasion Ă davantage de victimes sentientes Ă devenir victimes, il serait peut-ĂȘtre plus vertueux de songer Ă rĂ©duire le taux de croissance du nombre de consommateurs humains…